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lesyeuxsanspaupieres
Que c'est mièvre que c 'est nul!Comme vous etes niais ou niaise ! oser écrire des trucs pareils! Vous devriez etre censure!
De l enflure ? de l emphase ? baudelaire un style ampoulé???????
mais vous n y connaissez rien !!! ce que vous faites c est des oxymores et des agregats de mots A-poetiques comment vous osez pretendre vous comparer à baudelaire????comme vous etes niais c est pas possible!!! ce sont pas des enflures c est des epithetes idiote!!!!depuis quand les epithetes c est des enflures aller dire ca a homere et lui dire que l aurore aux doigts de rose c est de l enflure! qu achille aux pieds legers c est de l enflures! que penelopeia periphrones c est de l enflure !!!! meme les surrealistes vous traiteraient d attarde pourtant dieu sait que les surrealistes n y vont pas de main morte dans les comparaisons baroques
apprenez que les images SIGNIFIENT et que sortir du neant des mots doublés d'épithetes c est pas faire de la poesie mais de la dissection!!! de la poesie ce n est pas un amas d images ou de mots doubles de metaphores !!!!!sortez de vos adages d etudiant de seconde !!!( meme pas ) ayez une idée, meme pas la plus lointaine de la poésie avant d oser écrire des inepties pareilles.
il faudrait donner des cours a des attardes comme vous !! mobilisez les gens c est pas possible!!! mon dieu et quel air pretentieux , quel air assuré .... heureusement que vous n avez jamais fait de khagne ou passe d oral a normale sup on vous lapiderait a la sortie !!!!!!!ouh là je defaille.
waves | 1/2/2004
c'était la premiere fois que je venais eh bien j en ai pour mon compte! je repars de suite !
waves | 1/2/2004
j'avais envie de répondre par une profonde banalité, qui mettrait en lumière le miroitant gouffre (etc etc) de ton propos, mais j'en trouve pas... ;-)
cel | 1/2/2004
:)
je ne vois rien d'autre à ajouter !!!! mécréant de la poésie ! ;)
halwa | 1/2/2004
non cel ca ne suffira pas a montrer la vacuité de son propos
waves | 1/2/2004
je reste atterre je me repasse le message j y crois pas mes yeux me manquent
waves | 1/2/2004
c'est d un pretentieux d une demence d une folie d une betise ... jamais jamais vu ça
waves | 1/2/2004
"La vacuité de son propos" ?
C'est juste un peu de légèreté dans ce monde de brutes (délicates).
Waves, je répondais à l'auteur du blog, il ne s'agissait pas d'une surenchère à ta réponse (que je n'avais pas lue, d'ailleurs. Bon, c'est fait maintenant. Eh bien, que de colère pour un petit bout de texte qui commence et finit par un clin d'oeil !)

cel | 1/3/2004
Merci Cel ;--)
Bon, waves, tu crois pas que tu t'énerves un poil vite là ? Ce ne sont pas que des oxymores, c'est une réalité de son écriture. Et je dis assez clairement les choses, non ? , ce qui me trouble c'est qu'en COPIANT A LA DIABLE ces légèretés de Baudelaire, on se prenne à se croire poète. Tu comprends ?
Je ne te connais pas. Je vais aller sur ton blogue, te lire, et comprendre ce qui a pu t'énerver à ce point dans mon post.
En résumé ? Il ne suffit pas de dire que "les cieux résonent de vacarmes tus" pour PRODUIRE DU SENS.
Nous comprenons-nous mieux à présent ? Je le souhaite, je valide cette réponse, je pars te lire ;-)
lysp | 1/3/2004
Ca chauffe ici! allons allons!
Lian | 1/3/2004
Désolée waves, je suis une pauvre khâgneuse - enfin je le fus il y a peu - et je ne suis pas du tout choquée par les propos de lysp. J'adore la poésie, mais Baudelaire passe de plus en plus pour un lieu commun "Ah Baudelaire ! le spleen ! les fleurs du mal! .. et blabla et l'albatros !" Alors que personne ne l'a forcément lu. Donc lysp tu as raison : Abattons les copieurs ;o)
Et je doute de plus en plus - à force de m'user les yeux à la poésie - que tout poète cherche un sens à ce qu'il écrit. L'amour de la forme en poésie est et reste très important. Nuançons : forme et fond doivent s'accorder, ou se contredire, mais exister.
Pfiou jsuis fatiguée là. 1h du mat' et je débite des conneries sur Baudelaire..
Sca | 1/3/2004
A MORT LES PLAGIAIRES ! aie aie carammmba encore raté
Sca | 1/3/2004
lysp) Si vous parliez au centieme degre,je ne peux que m' excuser de ne pas comprendre votre infinie subtilité. Mais ce qui m'a révulsé c'est qu'on reprenne des vers de Baudelaire en parlant d'"enflure" ,qui je lis mon robert signifie "exageration, emphase, crétin", et l'ironie me semblait en ce cas totalement exclue, et qu'on sous entende qu'on puisse reproduire des "enflures" (sic) semblables pour produire de la poésie. Moi aussi je vous ai lu et j'ai constaté que souvent vos commentaires portaient sur le style de l'auteur, ses mots, ses epithetes toujours des "enflures " qui alourdissaient la lecture, etc ( cf note sur nothomb). Aussi j'ai bondi, d'une part parce que j apprecie beaucoup baudelaire qui a mon sens ne fait pas d enflures ( et meme en second degre je ne me permettrai de dire ca), et d'autre part parce que la poésie ne peut se réduire a la reproduction d 'un effet stylistique que vous qualifiez d"enflure" et que pour ma part je cerne que tres mal ( et que je substitue inconsciemment à d autres termes comme epithete, oxymore image ou metaphore ) .
sca) pres de 3000 personnes font des khagnes chaque année. Dans ce lot y a du bon comme du tres mauvais...Enfin. En hypokhagne, dans mes khagnes successives, Baudelaire a toujours eu une place énorme. Et je suis très etonné qu'une ancienne khâgneuse reduise Baudelaire à je cite "Ah Baudelaire ! le spleen ! les fleurs du mal! .. et blabla et l'albatros !" . Si vous n'avez pas lu les petites vieilles, ou les septs vieillards et si le concepts de transfiguration d un moi execre dans des personnages fuyants et moribonds vous est inconnu et si l'idée d'une subvertion des poèmes de la renaissance ( la geante ou le sublime le guignon) ne vous dit rien, je peux concevoir votre motto "Ah Baudelaire ! le spleen ! les fleurs du mal! .. et blabla et l'albatros !" . Mais vous vous dites khâgneuse or toute khâgneuse qui se respecte connait par coeur les fleurs du mal et cette phrase n a pas de sens "Alors que personne ne l'a forcément lu"(lisez les rapports). mais ce qui m attriste le plus , et je crois que je vais arreter de venir ici et d avoir des attaques successives c est" Et je doute de plus en plus - à force de m'user les yeux à la poésie - que tout poète cherche un sens à ce qu'il écrit". je crois que vous n'avez jamais lu de poésie. Et je n'arrive pas à concevoir que vous ayez jamais fait de khâgne. L'audace de ces lignes est incroyable. Vous avez deja fait une dissertation sur la poesie ? avec plus de quatre sur vingt ? Excusez mais le je defaille franchement.je finirai ( j ai envie de dormir là ) en disant que baudelaire n est pas du tout ignoré des khâgnes ( celles que j ai frequenté du moins), et baudelaire tombe tous les ans au moins deux fois par jury ( donc au moins six fois par an à l oral ) et je suis indulgent.
lysp) Vous vous demandiez pourquoi de mes réactions, je reponds simplement quand on a une conception vivante de la littérature, on a des réactions vives. Si vous parliez de maths ou d inepties qui ne m interesse pas, je ne vous dirai rien. Excusez j ai ete long.

waves | 1/3/2004
> waves : bon, finalement en se détendant, on cause mieux ;-)
Nous avons toi et moi le même dictionnaire sous la main ; tu verras, tout à la fin, le sens dit "vieilli" qui parle d'enflure comme d'emphase (avec une citation de ce terrible Saint-Beuve dont la trogne incroyable est visible sur sa tombe, au cimetière Montparnasse, lien ci-dessus). Ensuite souvenons-nous que je ne parlais pas de Baudelaire. Bien. Venons-en au fond : l'emphase, facilement, parce qu'elle alourdit le propos, donne l'illusion que le propos est riche et profond. Et une certaine poésie use et abuse de cette emphase - tiens, la chanson aussi. Je ne visai que cela ;)
> Sca : voilà bien le problème : le sens. Exemple d'un poème de Milo de Angelis :

LA DISTRIBUTION DE VETEMENTS

Il est une idée qui noie, un pas titubant de prêtre, avec la même pluie dans l'urine.
Il n'y a personne, je le sais, mais si je m'appuie à la cloison elle se fend en ses deux moitiés de poison : quoi d'autre décrire qu'une augmentation de poids
dans l'acte d'injecter son impulsion ? On se demande toujours devant une vitre : revient le kilomètre lancé à bille,
il forme lentement lentement le mot hiver,
Tous deux eurent la majorité sur moi, cet hexamètre qu'est un rêve refusé.
lysp | 1/3/2004
En khâgne, ou simplement pour toi waves, ce qu’on a du mal à saisir :
1° Le second degré : « Ah Baudelaire ! le spleen ! les fleurs du mal! .. et blabla et l'albatros !" n’est pas évidemment pas de moi , mais de ces gens qui prétendent connaître ce sus-dit Baudelaire - et je ne parle pas de khâgneux encore une fois - alors qui ne l’ont pas même lu.
2° Ne pas juger trop tôt. Français et philo ( d’ailleurs si je peux te conseiller Walter Benjamin pour Baudelaire.. si ce n’est pas déjà fait évidemment) étaient mes matières de prédilection, dommage.. ;o)
3° tolérance et ouverture, éviter cette ghettoisation khâgneuse qui prétend détenir le savoir et la culture surtout. Baudelaire, Goethe et Hugo etc. ne sont pas tout. Oui, ils sont des génies pour moi - aussi. Mais que vaut notre admiration pour eux ? à quoi sert-elle ? Le passé littéraire est certes fondateur en France, mais allons de l’avant.. Houellebecq, D’Estaing et consorts y contribuent aussi dans une moindre mesure. La star ac’, popstars ne sont pas à regarder de haut, mais à considérer comme autant de faits réels de société.

Et je finirai en disant que ce que permet une khâgne, c’est avant tout de remplir les feuilles de vide et de clinquant, ressortir des références et des exemples . Le major 2003 au concours ulm paris – une connaissance – se nourrissait quasi exclusivement de critiques ( Auerbach c’est bien mais..). Affligeant. Pour l’amour de la littérature et pour penser par soi-même, c’est bien ailleurs qu’il faut aller.. Mais une khâgne donne certainement une très bonne base de réflexion et une méthode, je ne conteste pas. Je clos la parenthèse.

Désolée, je règle mes comptes lysp alors que ça n'a pas forcément à voir avec ton post ;o)
et j’aime provoquer faut-il le dire ?

Sca | 1/3/2004
Mouais.
J'ai pas tout lu les réponses.
Cependant :
* Y'a quand même des khâgneuses qui se la racontent mais on peut mettre ça sur le compte de l'humour, l'auto-ironie, la distance, etc.
* Si ce cher Baubaudelaire était moderne à son époque, il ne l'est plus aujourd'hui, désolé, on peut l'apprécier bien sûr mais le monde a changé de perception culturelle depuis (dans notre rapport à la nature) et l'époque charnière reste le début du XXème (pour aller vite Baubau a certes accompagné ce détour). Mais qui écrit des sonnets aujourd'hui, hum??? Effectivement, lysp fait bien de brocarder les adolescents qui font du sous Baubau sous couvert d'un vague romantisme sombre... Etre habillé en noir d'ailleurs c'est mieux pour la poésie.
* Houellebecq? Ah oui Houellebecq qui est un sous réaliste qui fait du sous Balzac (ça serait bien de sortir du XIXème) et qui se croit subversif avec des histoires de fesses qui finissent mal. Le truc c'est que la réflexion sur le prétendu déterminisme du drame final ne marche plus. Il peut très bien ne pas y avoir d'attentat à la fin de Plateforme, seul le romancier décide. Mais les lecteurs choisissent d'être dupes, no comment.
* Sur la hiérarchie. Désolé mais je fais encore une différence entre Star Ac' et Brel par exemple.Même si Starac' est un fait de société, ça n'empêche ni de porter dessus un regard critique ni de l'étudier en termes sociologiques,économiques, etc.
En gros quasi tout ce que j'avais à dire, pour info je n'ai rien contre ceux qui apprécient Baudelaire ou Molière mais je contaste seulement que ces deux-là, entre autres, sont ressortis du placard à toutes les sauces.
Beonelo | 1/3/2004
Parce que j'adore le citer, et parce qu'en plus, je le ressors à tout bout de champ, et qu'en plus j'ai pas fais khâgne, je m'emmèle...

"Laissez de côté les écrivassiers funestes: Sand, Balzac, Alexandre Dumas, Musset, Du Terrail, Féval, Flaubert, Baudelaire, Leconte et la Grève des Forgerons!
Ne transmettez à ceux qui vous lisent que l'expérience qui se dégage de la douleur, et qui n'est plus la douleur elle-même. Ne pleurez pas en public."

Baudelaire, ça chiale, ca dégouline, c'est bon là où ça fait mal, mais c'est inutile.
Quant à la critique de lysp, tutto va molto bene, tant qu'on attaque la forme...

Oui, c'est encore Lautréamont.

Miss C. | 1/3/2004
> Sca : Ben pas d'angoisse ! Le blogue est fait pour ça. Je suis content qu'on trouve tous un peu de temps pour se disputer puis parler, donner son opinion et tout ;)
> Beonelo : Sur Houellebecq il faut bien dire que c'est largement une créature d'un milieu parisien qui s'ennuie à mourrir devant son nombril. Il leur faut un type a citer (quand ils ont eut fini de citer Sollers qui lui-même n'écrit plus guère que? des citations !!!) ; ça a été Houellbecq, s'en sera un autre, passons.
La question de la hiérarchie est épineuse. J'aimerai bien écrire une note là-dessus un jour ;-D
> Miss C.: Joli ! Même si, personnellement, Lautréamont? ? ? ;-)))
Aïe ! Pas sur la tête !! ;-D
lysp | 1/4/2004
LOL
Ataegina | 1/4/2004
Te voilà prévenue ;-)))
lysp | 1/4/2004
Un jour j'ai vu Houellebecq à la sortie de mon lycée. J'ai pas compris. Je l'ai regardé fixement. Il regardait les élèves. Puis il est parti tout plein de honte. J'ai un ami qui m'a dit qu'on l'avait aperçu près du sien. Houellebecq racolle.
Je ne répondrai pas aux banalités, généralités oiseuses qui parsèment les réponses.
waves | 1/4/2004
C'est pour ça qu'il se terre en Irlande ? Moi qui croyais que c'était à cause des impôts !
C'était correct, "Extension du partage de la lutte", un peu chiant quand même mais correct. Le reste, quel ennui !
lysp | 1/4/2004
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