Parfois, les autres, on peut pas, on voudrait n'y être même pas

Envie de s'effacer, des fois. Quoi de plus normal.

C'est juste un peu douloureux.

C'est certain. Accuser le coup, imperceptiblement.

et toujours forcer le sourire dans ces moments car gare aux "ah t 'as vu il fait la tronche la; et patati et patatere"

très ennuyeux tout ça :o/

moi j'appelle ça les jours "Sans" sachant que le soleil se lève toujours et que demain sera un autre jour..

Il y a les gentils blogueurz'et blogueuses, heureusement ;-).

Je ne répondrai pas à cette note.
J'ai pas envie de partager ma réponse avec les autres.
Pour une fois, ce que j'ai à dire, je le garderai pour moi, ou même je ne le garderai pas. Je l'oublierai.

:-)

Oh, Anna, c'est justement la phrase que je voulais écrire, mais j'arrive trop tard !

Alors, je me retire sur la pointe des pieds pour laisser lysp tranquille, chuuut....

Oui, ça m'a fait beaucoup de bien de vous lire.
En fait il fallait chercher l'angle vivant : le touriste allemand, vous, une promenade seul à bicyclette et 80 pages du Journal de Samuel Pepys ... ;)

Il y a des fois, on aimerait simplement ne jamais avoir ouvert un oeil sur le monde, des fois on aimerait qu'on nous oublie juste pour faire le vide... Et puis le lendemain on regarde un coin de ciel bleu, on regarde les feuilles des arbres qui jouent avec le vent et un sourire renait...

Ou alors : un mars et ça repart! ^_^

Dans une tour, juste avec les nuages ?

> Mirabelle ô ma belle : grand vent aujourd'hui, ce doit être ça qui me sourit ;-)
> Atæ : un arrêt au minaret ;)