Monsieur Claude Lelouch : bravo et merci ! Voilà !!
lesyeuxsanspaupieres | 23
| 9/17/2004
:)
Assez d'accord avec toi. Je ferais les mêmes critiques pour ce qui est de son "populisme béat" et ses mouvements de caméra, ce qui au fond n'est pas si grave. Il a fait des films qui m'ont vraiment touché ("Il y a des jours et des lunes" est un bijou) et reste un des réalisateurs les plus sincères et spontanés, avec beaucoup de fraîcheur dans ses films, même si c'est parfois (souvent) maladroit.
Hum.
Tant pis si je risque la plumitification et le goudronnage après mon commentaire.
Lelouch je ne peux pas.
Quant j'étais p'ti gosse, Lelouch et Truffaut je ne pouvais pas. Et puis j'ai découvert chez Truffaut une sensibilité, une humanité, derrière le débit des dialogues et la vois d'Antoine Doinel par exemple.
Je ne l'ai jamais trouvé chez Lelouch.
Rien à faire.
Je n'y vois qu'une grenouille qui essaie de se faire plus grosse que le boeuf. Une virtuosité trop bavarde des mouvement de caméra, qui ne seraient pas grand-chose, si en plus il n'y avait pas toutes ces histoires à la tralalatsouintsouin.
Lelouch est un cinéaste du trop, qui finit par ne montrer que sa peur du vide.
Il lui faut des images trop (et vas y que je bouge ma caméra dans tous les sens pour l'épate), des histoires trop (on dirait du Robert Hossein sur 35mm), des personnages forcément trop (Edith et Marcel, Dieu réincarné...) dans des acteurs trop également (Lucchini, Dalle...).
Lelouch ne peut s'empêcher de jouer les faux modestes, il se fait son cinéma à lui en permanence en fait. Il fait le film qu'il est si content de voir pour lui.
Il n'y a aucun mal à cela (d'ailleurs il n'est pas le seul).
L'ennui c'est qu'il fait des films.... ennuyeux.
Pas mauvais.
Pas bons non plus.
Mais d'un ennui terrible, tant chaque plan s'ingénie à aller traquer la réaction amoureuse de son public pour lui, pour Lelouch.
Aimez moi, aimez moi parce que moi je m'aime tant nous bassine Lelouch.
Dans sa caméra, Lelouch ne voit que lui. Il la fait bouger en tout sens (quel virtuose), multiplie les situations et les dialogues "regardez comme c'est cocasse", et les thèmes les plus "dans l'air du temps" uniquement pour tenter de nous tromper.
Uniquement pour essayer de ne pas nous montrer que comme Narcisse, Lelouch à force de se regarder dans ses films, s'y est figé dans sa propre auto-adoration.
Bon maintenant allez-y pour le goudron et les plumes.
Tant pis si je risque la plumitification et le goudronnage après mon commentaire.
Lelouch je ne peux pas.
Quant j'étais p'ti gosse, Lelouch et Truffaut je ne pouvais pas. Et puis j'ai découvert chez Truffaut une sensibilité, une humanité, derrière le débit des dialogues et la vois d'Antoine Doinel par exemple.
Je ne l'ai jamais trouvé chez Lelouch.
Rien à faire.
Je n'y vois qu'une grenouille qui essaie de se faire plus grosse que le boeuf. Une virtuosité trop bavarde des mouvement de caméra, qui ne seraient pas grand-chose, si en plus il n'y avait pas toutes ces histoires à la tralalatsouintsouin.
Lelouch est un cinéaste du trop, qui finit par ne montrer que sa peur du vide.
Il lui faut des images trop (et vas y que je bouge ma caméra dans tous les sens pour l'épate), des histoires trop (on dirait du Robert Hossein sur 35mm), des personnages forcément trop (Edith et Marcel, Dieu réincarné...) dans des acteurs trop également (Lucchini, Dalle...).
Lelouch ne peut s'empêcher de jouer les faux modestes, il se fait son cinéma à lui en permanence en fait. Il fait le film qu'il est si content de voir pour lui.
Il n'y a aucun mal à cela (d'ailleurs il n'est pas le seul).
L'ennui c'est qu'il fait des films.... ennuyeux.
Pas mauvais.
Pas bons non plus.
Mais d'un ennui terrible, tant chaque plan s'ingénie à aller traquer la réaction amoureuse de son public pour lui, pour Lelouch.
Aimez moi, aimez moi parce que moi je m'aime tant nous bassine Lelouch.
Dans sa caméra, Lelouch ne voit que lui. Il la fait bouger en tout sens (quel virtuose), multiplie les situations et les dialogues "regardez comme c'est cocasse", et les thèmes les plus "dans l'air du temps" uniquement pour tenter de nous tromper.
Uniquement pour essayer de ne pas nous montrer que comme Narcisse, Lelouch à force de se regarder dans ses films, s'y est figé dans sa propre auto-adoration.
Bon maintenant allez-y pour le goudron et les plumes.
Tout à fait d'accord avec toi.J'aime beaucoup Claude Lelouche au cinéma et dans la vie ,c'est une personne généreuse et intelligente comme son cinéma.De toutes façons il est dur de faire du cinéma d'auteur sans être marginalisé en France.Pialat en a fait les frais aussi,(autre cinéaste ou devrais-je dire ciné-astre que j'aime beaucoup!).Vas y Claude te laisses pas faire!J'ai lu la critique en lien ,c'est minable!Je pensais qu'être critique c'était donner son avis en pesant le pour et le contre, là je ne vois qu'un contre très partisan!
en parfait accord avec > 2U, et vive le goudron pour les plumitifs sans plumes.
> Imprimerie Versailles : Bonjour ;)
> farf : "sincère", c'est effectivement sans doute une qualité essentielle de Claude Lelouch, et qui nous persuade de l'importance de son cinéma.
> 2u : Ben, tu nous connais quand même ?! Tu imagines que nous te traiterions comme ça ???? Tu as tout à fait raison de donner ton avis. Surtout en prenant le temps d'écrire longuement ton avis. D'ailleurs je crois que nous partageons tous - plus ou moins, oui - certaines de tes critiques. Il n'empêche, l'acte cinématographique de Lelouch a plus de sens - même si d'aucuns le juge raté, cet acte - que les torrents de boue déversés chaque mercredi sur nos écrans par les multinationales des loisirs ... Non ?
> Marie : Je n'ai pas le plaisir de le connaître personnellement ;-)
Mais oui, le rapport à Pialat me semble très juste. Pialat, mais aussi Chabrol, dans son genre. Et j'ajouterai Rohmer, dans un autre genre.
> farf : "sincère", c'est effectivement sans doute une qualité essentielle de Claude Lelouch, et qui nous persuade de l'importance de son cinéma.
> 2u : Ben, tu nous connais quand même ?! Tu imagines que nous te traiterions comme ça ???? Tu as tout à fait raison de donner ton avis. Surtout en prenant le temps d'écrire longuement ton avis. D'ailleurs je crois que nous partageons tous - plus ou moins, oui - certaines de tes critiques. Il n'empêche, l'acte cinématographique de Lelouch a plus de sens - même si d'aucuns le juge raté, cet acte - que les torrents de boue déversés chaque mercredi sur nos écrans par les multinationales des loisirs ... Non ?
> Marie : Je n'ai pas le plaisir de le connaître personnellement ;-)
Mais oui, le rapport à Pialat me semble très juste. Pialat, mais aussi Chabrol, dans son genre. Et j'ajouterai Rohmer, dans un autre genre.
Moi aussi d'accord avec l'analyse de 2u mais aujourd'hui je dis quand même bravo pour le geste d'offrir son film à voir gratuitement. Rarissime dans une société où tout se négocie et se paie...
> jeckill : Nos commentaires se croisèrent.
Je persiste à penser que la démarche de Claude Lelouch est artistique. Et je crois que c'est très important ...
Je persiste à penser que la démarche de Claude Lelouch est artistique. Et je crois que c'est très important ...
Noon, je n'avais pas trop peur de finir balladé sur un rail tel le pied tendre dans Lucky Luke !
Ok pour le beau geste Lelouchien.
Même si je n'arrive pas à m'intéresser à son cinéma
Ok pour le beau geste Lelouchien.
Même si je n'arrive pas à m'intéresser à son cinéma
J'ai beaucoup aimé "La Belle Histoire".
On verra pour les Parisiens.
Certains films de Lelouch ne m'ont pas plût du tout!
Bises.
On verra pour les Parisiens.
Certains films de Lelouch ne m'ont pas plût du tout!
Bises.
2u> un peu d'Ignatia 5CH pour calmer le mal de tête provoqué par le tournoiement de la caméra de Lelouch?
Je ne me sens pas très capable de faire une critique intelligente et argumentée car je n'ai pas de véritable culture cinématographique, les images me restent étrangères, la plupart du temps. "Autrefois", j'ai aimé certains films de Lelouch, comme "Edith et Marcel", ce qui faisait hurler mon entourage.
A force d'aimer les films que personne n'aime et de ne pas savoir dire pourquoi, je crois que j'ai fini par me dégoûter du cinéma.
Je ne me sens pas très capable de faire une critique intelligente et argumentée car je n'ai pas de véritable culture cinématographique, les images me restent étrangères, la plupart du temps. "Autrefois", j'ai aimé certains films de Lelouch, comme "Edith et Marcel", ce qui faisait hurler mon entourage.
A force d'aimer les films que personne n'aime et de ne pas savoir dire pourquoi, je crois que j'ai fini par me dégoûter du cinéma.
Lyps>Je ne connais pas Claude Lelouche Personnellement,mais j'ai vu quelques interviews et des rétrospectives sur lui et il me semble être qqu'un de bien, on peut toujours se tromper, les gens même ceux qui ne sont pas célèbres ne montrent que ce qu'ils veulent bien montrer!
Je suis allée assister au film hier soir, un peu sur la réserve ayant entendu les critiques ( Monique Pantel ), et j'ai passé un moment formidable, que de belles images ! qu'est-ce que c'est bien filmé !
Un très très grand Lelouch !
à suivre
Pas de cinéma dans ton village ? ... c'est bien triste ...
> 2u : J'aimais pas Lelouch, a priori. Puis je me suis retrouvé à l'Etranger pendant un an, avec une télévision qui n'avait qu'une chaîne, et dans une langue que je ne comprenais pas. C'était avant internet bien sûr ... Bref, tout ça jusqu'au jour où il sentreprirent de passer, tronçonné en 6 épisodes, "Les uns et les autres" !!! Alors je suis resté collé au téléviseur à écouter cette langue si belle qui était tout simplement la mienne ;-)
> Tolga : J'espère que tu auras pu avoir un ticket hier soir !
> Samantdi : Très honnêtement, je ne suis pas un spécialiste et je suis très las de ce média ...
> Marie : "Honnête", oui, je crois que c'est la base de tout.
> micky101 : Monique Pantel ?! 35 ans à France-Soir ! c'est tout dire ...
> T°dd : Je crois que je ne suis pas allé au cinéma depuis ... "Festen". J'y vais peu mais je choisis ;-))))
> Tolga : J'espère que tu auras pu avoir un ticket hier soir !
> Samantdi : Très honnêtement, je ne suis pas un spécialiste et je suis très las de ce média ...
> Marie : "Honnête", oui, je crois que c'est la base de tout.
> micky101 : Monique Pantel ?! 35 ans à France-Soir ! c'est tout dire ...
> T°dd : Je crois que je ne suis pas allé au cinéma depuis ... "Festen". J'y vais peu mais je choisis ;-))))
Mon kopain et moi avons vu le film hier.
On s'ets un peu fé chier mais ambiance géniale !
Vive le ciné et les fous genre lelouche !!!
On s'ets un peu fé chier mais ambiance géniale !
Vive le ciné et les fous genre lelouche !!!
non Lelouch, franchement, c'est impossible - voir mon blog à ce sujet.
Quant à Jean-Paul Dubois, tu devrais te laisser faire. C'est un bon bouquin. Le côté Nouvel Obs m'énerve tout autant. Mais cette fois, c'est une réussite. Et pas besoin d'avoir 50 ans pour aimer.
Par ailleurs ton blog est vraiment intéressant.
Quant à Jean-Paul Dubois, tu devrais te laisser faire. C'est un bon bouquin. Le côté Nouvel Obs m'énerve tout autant. Mais cette fois, c'est une réussite. Et pas besoin d'avoir 50 ans pour aimer.
Par ailleurs ton blog est vraiment intéressant.
> http:// : J'adore cette remarque ! Bien sûr, on peut ne pas vraiment aimer mais s'attacher à l'aspect festif (gratuité, présence du réalisateur, etc) et au défi fait aux critiques. Un acte de liberté; c'est du moins ainsi que je l'ai compris.
> anyhow : Merci pour le mot gentil ;-)
Quant à Lelouch, je dois avouer n'en avoir vu en tout que ... quatre dans ma vie. Donc 10% je crois. En fait ce que je salue ici c'est surtout sa résistance ; quand le cinéma est quasi-intégralement un produit industriel - voir John Fante déjà ! -, je crois que Lelouch a une réelle démarche d'artiste.
> anyhow : Merci pour le mot gentil ;-)
Quant à Lelouch, je dois avouer n'en avoir vu en tout que ... quatre dans ma vie. Donc 10% je crois. En fait ce que je salue ici c'est surtout sa résistance ; quand le cinéma est quasi-intégralement un produit industriel - voir John Fante déjà ! -, je crois que Lelouch a une réelle démarche d'artiste.
Une trilogie sur le "Genre humain"...
Mr Lelouche vous excellez dans le cinéma faussement intellectualisé. Je suis certain que si André Bazin n'était pas mort, il se serait sucidé après avoir regardé votre film.
Quelle prétention dans l'intention!
Je crainds que les deux prochains opus soient encore plus pathétique (ils le sont déjà par leurs titres).
Mr Lelouche vous n'etes pas E.Lubitsch, et encore moins F.Capra... J.Renoir de son vivant aurait pu osé, mais pas vous.
Mr Lelouche vous excellez dans le cinéma faussement intellectualisé. Je suis certain que si André Bazin n'était pas mort, il se serait sucidé après avoir regardé votre film.
Quelle prétention dans l'intention!
Je crainds que les deux prochains opus soient encore plus pathétique (ils le sont déjà par leurs titres).
Mr Lelouche vous n'etes pas E.Lubitsch, et encore moins F.Capra... J.Renoir de son vivant aurait pu osé, mais pas vous.
Bonsoir la foule.
Je ne sais pas pourquoi j'interviens dans le débat, n'ayant pas vu le film en question, et pensant de Lelouch le pire et son contraire. Après avoir abandonné mon premier blog qui m'avait apporté trop d'ennuis, tant j'y révélais de moi-même et des autres, j'ai décidé d'en ouvrir un autre sur la course à pied que je pratique avec de plus en plus de bonheur, inégal selon les jours et les lunes, bien entendu. Je prends souvent un itinéraire d'enfant gâté, entre Jardins du Luxembourg et Tuileries. D'abord pour maigrir, eh oui, tout ça... pour ça, puis le plaisir vient, naturellement. Parfois, je pars au gré du vent, ne sachant pas très bien où. L'aventure, c'est l'aventure ! J'aime observer l'atitude des uns et des autres, qui courent souvent, hasards ou coïncidences, pour des motifs différents. Quand je courais au Bois de Boulogne, je voyais souvent Lelouch et Martinez courir ensemble, un homme et une femme. Je n'arrive pas à complètement détester Claude Lelouch, que les critiques, les misérables, adorent éreinter à longueur de colonnes. A nous deux, semble crier le plumitif, je vais t'expliquer le cinéma. Ce ne sont souvent que des voyous. On a envie de le protéger, de lui crier "Attention, bandits !" Mais lui, inlassablement, veut nous donner le mode d'emploi, hommes, femmes, la belle histoire. SI c'était à refaire, Lelouch le referait toujours de la même manière. Même si ça agace. J'ai de la tendresse pour cet homme qui a les chimères d'un enfant. Il joue au chat et à la souris avec nous, et c'est sans doute cela le plus déroutant. Tous les ans, on se dit que ce sera la bonne année pour lui. Parfois, on sort de la salle en criant "Viva la vie !", et d'autres, bof, smic, smac, smoc. La haine qu'il suscite chez le frustré qui n'a jamais réussi à percer dans le métier, et donc tape sur ceux qui ont fait mieux que lui, me devient insignifiante, voire insigne fiente tellement elle est énorme et démesurée face aux enjeux que soulève Lelouch. Lelouch qui finalement n'aura cessé de scruter le genre humain.
PS : Je vois souvent Lucchini au Luxembourg. Aussi cabotin sur le sable du jardin que devant la caméra ;-)
Je ne sais pas pourquoi j'interviens dans le débat, n'ayant pas vu le film en question, et pensant de Lelouch le pire et son contraire. Après avoir abandonné mon premier blog qui m'avait apporté trop d'ennuis, tant j'y révélais de moi-même et des autres, j'ai décidé d'en ouvrir un autre sur la course à pied que je pratique avec de plus en plus de bonheur, inégal selon les jours et les lunes, bien entendu. Je prends souvent un itinéraire d'enfant gâté, entre Jardins du Luxembourg et Tuileries. D'abord pour maigrir, eh oui, tout ça... pour ça, puis le plaisir vient, naturellement. Parfois, je pars au gré du vent, ne sachant pas très bien où. L'aventure, c'est l'aventure ! J'aime observer l'atitude des uns et des autres, qui courent souvent, hasards ou coïncidences, pour des motifs différents. Quand je courais au Bois de Boulogne, je voyais souvent Lelouch et Martinez courir ensemble, un homme et une femme. Je n'arrive pas à complètement détester Claude Lelouch, que les critiques, les misérables, adorent éreinter à longueur de colonnes. A nous deux, semble crier le plumitif, je vais t'expliquer le cinéma. Ce ne sont souvent que des voyous. On a envie de le protéger, de lui crier "Attention, bandits !" Mais lui, inlassablement, veut nous donner le mode d'emploi, hommes, femmes, la belle histoire. SI c'était à refaire, Lelouch le referait toujours de la même manière. Même si ça agace. J'ai de la tendresse pour cet homme qui a les chimères d'un enfant. Il joue au chat et à la souris avec nous, et c'est sans doute cela le plus déroutant. Tous les ans, on se dit que ce sera la bonne année pour lui. Parfois, on sort de la salle en criant "Viva la vie !", et d'autres, bof, smic, smac, smoc. La haine qu'il suscite chez le frustré qui n'a jamais réussi à percer dans le métier, et donc tape sur ceux qui ont fait mieux que lui, me devient insignifiante, voire insigne fiente tellement elle est énorme et démesurée face aux enjeux que soulève Lelouch. Lelouch qui finalement n'aura cessé de scruter le genre humain.
PS : Je vois souvent Lucchini au Luxembourg. Aussi cabotin sur le sable du jardin que devant la caméra ;-)
moi aussi g adorer la belle histoire et les autre film de claude lelouche je suis une grande fan ma mere aussi adre s'est film
é ba moi je le é car je doi fair 1 expo sur lui mé j'aime bi1 c filmsurtou itinéraire d'un enfant gaté
Lelouche, une révélation... Ce qu'adolescente je pensais sans en parler, j'ai compris à 14 ans que ça pouvait exister.
"LA BELLE HISTOIRE" un rythme musical, une harmonie de pensées... On a beau ne pas aimer le style Lelouche; pourtant la plupart de mes connaissances sont d'accord pour dire que c'est un génie dans le dialogue et l'art de la réflexion.
De toute façon, Lelouche on aime ou on déteste, il n'y a pas se juste milieu, ses films sont à l'image des non conformistes, des gens qui évoluent, qui n'ont peur ni du changement ni de la différence.
MERCI CLAUDE
"LA BELLE HISTOIRE" un rythme musical, une harmonie de pensées... On a beau ne pas aimer le style Lelouche; pourtant la plupart de mes connaissances sont d'accord pour dire que c'est un génie dans le dialogue et l'art de la réflexion.
De toute façon, Lelouche on aime ou on déteste, il n'y a pas se juste milieu, ses films sont à l'image des non conformistes, des gens qui évoluent, qui n'ont peur ni du changement ni de la différence.
MERCI CLAUDE
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