Cachotteries

Ne pas dire, c'est laisser l'autre dans le vide infini du doute...

une chose qui n'est pas dite, n'est pas sue...
dans les sentiments il me semble que c'est primordial de dire...
pour le reste souvent des mensonges pieux arrangent beaucoup de situations au lieu de les envenimer... non?

Il y a aussi des choses cachées, mais dites à l'insu de ceux qui préfèrent se taire. Des petits gestes, des attitudes qui s'échappent finissent par en dire autant que les mots qui n'y sont pas.
Mais ils laissent l'autre dans le doute, l'incompréhension de ce qu'il perçoit, sait sans savoir, et dont il reste prisonnier jusqu'à ce qu'il arrive à remolir ce vide de mots.

tu vois bien que l'une des voies pour lutter contre ces putains de secrets cons c'est de répendre des rumeurs, une sorte d'Aïki-do intellectuel. C'est ma proposition n° 76543B

oh ! Si c'est sur Ardisson, ça ne pourra pas m'étonner...

lysp bonjour à twa me voilà sur le retour et je suis content de nouveau j'arrive chez toi sans pb. v donc recommencer mes interventions @++bient^^twa

> ludecrit : C'est vrai qu'il y a deux dimensions, entre le silence privé et le silence public. Quant aux cachotteries privées, oui, je crois qu'elle sont assez obligatoires. Les autres sont dangeureuses?
> LaVitaNuda : Là, ça semble très personnel ;)
Mais, si j'ose reprendre la phrase titre de ce blogue, "la perception est un acte cognitif", encore faut-il que l'autre ait envie de lire les messages dissimulés dans les attitudes, dans ces petits riens discrets, pudiques.
> favret (u-b) : La rumeur comme? ouais, j'aime assez l'idée ! Faudrait dévvelopper ;-)
> 2pasag : Chouette ! Bien (re)venu ! Je vais faire un saut chez toi de suite !

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