Du château de cartes, que suffirait-il de retirer ?

Si l'on prend "sexualité" dans son acception même, Lysp, le monde ne survivrait pas à la fin de celle-ci qui nous permet de nous reproduire.
Si on l'entend dans son sens "érotisme" alors oui, la publicité ( et la télévision ) ont tellement pris le pas sur celui-ci, jouant sur le fantasme, le singeant pour mieux s'en accaparer et l'utiliser que l'on peut, ma foi, tout imaginer en effet...

AURORA

Notre monde s'écroule sans rires...
L'humour, Lysp... le rire... C'est le propre de l'Humanité... et c'est l'humanité qui fait le monde... non?

> AURORA : Concernant la "sexualité", je crois que bientôt les éprouvettes pourront nous en ? décharger ; hélas ! Non ?! La clinique privé va remplacer le lit douillet.
> Tolga : Le rire, oui, peut-être la dernière chose qui nous restera. Faudrait que je lise ce fameux livre de Bergson ? Tiens, les livres : on pourrait nous les enlever que ça ne changerait rien pour la plupart !

[Tiens, les livres : on pourrait nous les enlever que ça ne changerait rien pour la plupart !]

Ah NON! pas les livres...

> Moreta : C'est une sorte de crainte ?

En somme, selon toi : niquons ou communiquons, il faudrait choisir son camp.

C'est quoi ça... un coup de blues printannier ?

Zut, entre la sexualité et la télé, je choisis sans problème.
Mais entre la sexualité, et les livres, c'est déjà moins facile.
A quelles affreuses improbables perspectives ton blog me confronte parfois !

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